Présentation Auðr

Auðr

Age : 20 ans

Peuple : Aesirs

Religion : Ymir

Description physique (taille, poids, cheveux, yeux, particularités...) :
Auðr est une jeune femme a la chevelure couleur de blé et ses yeux couleur de givre, elle est grande de part sa culture, elle a une cicatrice au niveau de la jambe, elle est souple et maigre.

Caractère (grands traits): Méfiante, timide, curieuse et peureuse.



Son histoire avant l'exil :
Je suis née en Asgard il y a de cela 20 hivers. Là ou la terre et le ciel ne semble plus faire qu'un, l’orque la dure saison des neiges vient recouvrir de son blanc manteau les monts Eiglophiens, que j'observe avec envie, depuis ma plus tendre enfance. Mon père comme tout Asgardiens était un dur guerrier. Plus pragmatique et froid, que paternel. Ma mère ... je n'ai jamais connu ma mère. Élevée par les femmes du village et souvent confié à la Volva, j'ai appris les bases du maniement de la lance afin de protéger le village. Mes journées étaient rythmé des taches classique d'une petite vie bien rangé : la ceuilliette ou la chasse, l'entretient de la maison de mon père, le soutient aux guerriers. Voila comment j'ai grandie . Voila comment je ne veux plus vivre ! Le printemps de ma 18eme année, un petit contingeant de Vanirs à réussi à percer dans nos terres par la sente des Géants. J'ai vue mon village pris aux flammes, aux cries et au sang verser de mes sœurs, mais je n'ai rien fait. Je n'ai pas osé me battre et sortir la lance au poing ! Non .. je suis rester caché... Lorsque les cendres sont retombés, lorsque la horde s'est retiré, je suis sortie, tremblante... honteuse .. toutes mes sœurs mortes, ou prisent comme esclaves ... les hommes morts pour la plupart, les autres disperser aux quatre monts. J'ai fui les restes encore fumant de mon village. J'ai fui la honte que j'apporterais à mon père, ou à sa mémoire. Ma propres honte. J'ai franchit les monts .. et j'ai marché .. marché pendant des jours durant, fuyant tout contact, tout village .. marché pendant des semaines des mois peut être .. je ne sais plus. J'ai marché jusqu'à l'épuisement.
Quand la chasse et la ceuillette ne m’ont plus suffit. Quand la soif c'est fait plus forte. Les jours qui ont suivit sont vagues ... je me souviens de quelques visages flou, je me souviens des tremblements d'une charrette, ou plusieurs. Du tintement de pieces qui change de mains. combien de temps suis je rester inconsciente ou quasi morte ? A mon réveille .. le sable .. la croix .. Ou suis je ?!