Présentation Azzaros

Description physique (taille, poids, cheveux, yeux, particularités...) :

Un visage agréable à regarder, des yeux bleu clair, une barbe et une coupe taillées et soignées.
La peau de son visage est quelque peu creusé à cause du soleil. De grande taille, toujours droit et fier. D'une musculature peu développé pour cette époque mais tout de même présente.
Signe particulier, Il lui manque son index à la main gauche.


Caractère (grands traits):

D'un naturel charmeur, mais surtout fourbe et manipulateur. Il apprécie le luxe et les plaisirs de la vie, le vin, les femme, l'or.
Son talent c'est l'éloquence qui lui permet de se sortir de nombreux conflit. Son défaut, il ne sait que très peu utiliser une arme et ne connait aucune règle de survie en milieux hostile.
Son premier souhait et de réussir à enlever son bracelet maudit afin de quitter ces terres hostiles et ainsi pouvoir assouvir sa vengeance.
Son second est celui de retrouver la bague de sa famille.
Et pour ce faire il espère que ses compétences pourront servir un chef de clan ou un Roi à la recherche d'un conseiller ou d'un émissaire.


Son histoire avant l'exil :

Azzaros est un Ophirien natif de la grande cite de Lathe.  Il eu une enfance confortable dans cette cité emplit de richesse.
Issue de la noblesse, sa famille était propriétaire de mines d'argent dans les montagnes de Karpash. Il fut donc élevé dans l’opulence et dans la tradition familiale. Loin d'avoir des compétences guerrières, c'est dans l'éloquence qu'Azzaros trouva sa voie.

Il devint alors un émissaire talentueux pour sa famille. Négociant les accords commerciaux, les litiges et les alliances. Son parcours et sa réputation parvinrent jusqu'aux oreilles du gouvernement qui décida de lui proposer une place d'ambassadeur.
Mais ces états de faits attirèrent la convoitise et la jalousie. Car ce poste était initialement prévu à un autre qui conspira afin de le destituer de son titre.
Loin des messes basses de la cours, il ne se douta guère de ce qui se tramait. Et vint le jour futile de son arrestation. Les soldats royaux entrèrent avec fracas dans son bureau, glaive à la main.

Il n'opposa aucune résistance car confiant en son innocence. Malheureusement, l'or qui était son plus grand allié se retourna contre lui. Car le conspirateur avait soudoyé les gardes qui firent minent de découvrir les preuves qu'ils avaient eux même apportés.
Plusieurs documents faisant état de transactions douteuses pour une nation étrangère fut découverts.  Et de faux témoignages vinrent sceller le sort du pauvre Azzaros.
La peine pour trahison étant la mort, sa famille intervint afin de pouvoir sauver leur fils. Ils proposèrent alors une sommes démesurée dans l'espoir de lui accorder une grâce.

Le Roi, magnanime, accepta de l'épargner. Mais c'est dans les terres de l'exil, loin de son confort et de ses privilèges qu'il fut envoyé.
Et une nouvelle fois, il fut trahis. Car arrivé dans le désert, il fut roué de coups, et accroché à une croix de bois. On lui coupa l'index de la main gauche, afin de voler la bague en or de sa famille. Complétement abattu, sa main sanguinolente abreuvant le désert, le sort de l'exilé semblait scellé.
Cloué à la croix dans ce désert aride, il n’espérait qu'une seule chose, se venger...