Naadhira Munim

Nom : Munim
Prénom : Naadhira
Âge : 21 ans.
Sexe : Féminin
Peuple : Darfari
Religion : Yooooooooooooooooooooog !

Caractère :

La curiosité connaît bien cette fille, toujours intriguée par le moindre recoin, elle fouillera n’importe qu’elle endroit qui lui donne envie, mais en contrepartie, elle saura se retirer, quant le temps sera donner. Naadhira est quelqu’un de très franche, elle n’hésitera pas à le dire quand une personne l’embêtera un peu trop.

Naadhira de part son métier, est une experte dans l’art de la chasse, et elle sait le montrer, elle sait très facilement bander un arc et décocher une flèche sur l’ennemi qui lui fait face. Naadhira dégage une certaine rancune envers les esclavagistes, ceux de par son enfance.

Physique :

C’est une femme qui n’est pas très grande, arborant le mètre 60 voir 70, Naadhira n’est pas non plus très musclé, mais elle est par contre très mobile, ce qui lui permet de se mouvoir très rapidement pour attaquer ses ennemis ou des bêtes.

Naadhira n’a pas un physique atypique. C’est une personne des plus banales dans son village, elle se fait beaucoup plus caractériser par son métier. Cheveux long tressés, pas une allure de grande dame à toujours changer de vêtements. Naadhira est beaucoup plus aventurière que magnificence absolue.

Histoire :

Il fut un temps, le clan des Rougesang, de brave guerriers dont le nom était réputé que dans quelques clans Darfar. Était de braves et fiers fervents de Yog, tenaces aux combats, des êtres dont l’amour pour la chair humaine était sans pareille. Oh oui, c’est bien de ce temps là que je parle, c’est ici que naquît cette jeune donzelle. Naadhira, chasseresse experte en cette art et en la matière. Terrassant avec délicatesse et sournoiserie, les gens qui vous la citeront, le feront ainsi. Cette fille, naquit dans les jupons de sa mère, passant par les couilles de son père. Rien de plus, rien de moins. Elle est juste né, là où elle devait naître.

Ainsi était-il temps, et encore au même clan, Naadhira grandit dans la sagesse de son aïeul, dans la grandeur d’âme de sa mère, dans le savoir de son père, prenant la chasse de la maternelle. La ténacité du père, et la religion de son aïeul. Mais ce fut toute jeune, oh oui, des plus jeunes, seulement âgé de seize ans, ni plus, ni moins, qu’une horde d’hommes, arnaché jusqu’au coup, vinrent enlever père, mère et fille. Dans les cris et les larmes, ainsi que le sang. Saletés d’esclavagistes faibles et couards. Ainsi les voyaient-elles.

Durant de nombreuses années, cette chasseuse et rêveuse de liberté vécut en réclusion, dont le seul objectif n’était que de survivre, elle fut, mainte fois violer, torturer, tabasser. Mais toujours elle se releva. Il était temps pour elle, un matin, l’aube ne se levait qu’à peine,une rixe éclata entre des esclaves et les maîtres-esclavagistes. En quelques secondes, Naadhira se débattit avec un garde, accompagnait de ses confrères, le mettant au sol et en le tabassant de toutes leurs forces. Elle récupéra la lance qui s’était écroulait au sol et le lança sur le maître du domaine.

Malheureusement, cette rixe ne put prendre le dessus sur l’homme qui était présent, pour le bien de tous. Le maître de domaine était quelqu’un de hautement placé dans cette hiérarchie où elle se trouvait, influent et j’en passe. Naadhira fut condamné, non pas à la mort, non pas à perpétuité, mais à vivre sur la terre des exilés, ainsi fut-il souhaitait, ainsi fut-elle conduite.