Les fleurs de Lotus
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Les fleurs de Lotus
Les fleurs de lotus des terres d'exil
Est-il une plante plus emblématique en Hyboria, que le lotus et ses nombreuses variétés ? Prisées des alchimistes pour leurs propriétés quasi-mystiques, certaines des espèces ont un statut légendaire, si ce n’est divin.
Les terres d’exil ont la particularité d’abriter la majorité des espèces de lotus d’Hyboria, en plus de certaines carrément endémiques de la zone ! Mais attention, en termes de roleplay, il faut veiller à ne pas succomber à la tentation de la nouveauté et ne pas vouloir devenir un maître des lotus en 15 jours… Petit tour d’horizon donc, des différentes variétés de lotus des terres d’Exil, de ce qu’on en sait au départ et… surtout, de ce que peuvent apprendre les différentes catégories de personnages.
C’est probablement l’une des variétés les plus connues et employées en Hyboria, utilisée comme drogue par les amateurs de rêves embrumés autant que comme herbe de transe par les prêtres, chamans et mystiques divers. Ordinairement, le lotus jaune est employé brûlé dans un brasero pour en inspirer la fumée, ou comme « tabac ». Il a un effet hallucinatoire notable, et rend dépendant à terme.
C’est une autre variété de lotus assez connue en Hyboria. Le lotus pourpre est originaire d’un marais du sud de la Stygie, et on en tire un puissant poison capable de paralyser temporairement une bête ou un homme. Ainsi, il est particulièrement prisé pour enduire des lames ou des flèches. Sous l’effet du lotus pourpre, la victime ressent tout ce qui arrive à son corps sans avoir le moindre contrôle sur lui.
Probablement le plus emblématique des lotus, il est aussi celui qui est le plus mortel. L’odeur dégagée par les fleurs, à elle seule, suffit à rendre fou le malheureux qui se trouverait à portée. Quand à la sève, son simple contact par voie cutanée suffit à donner la mort. C’est donc un poison aussi redoutable que rare et précieux, car si la plante est peu commune et difficile à récolter pour des raisons évidentes, sa distribution est également interdite par la plupart des autorités (de manière tout aussi évidente d’ailleur).
Souffler au visage de quelqu’un la poudre obtenue à partir des fleurs séchées suffit à le tuer, mais une telle arme est aussi dangereuse pour la victime que pour l’assassin, puisque sujette à se retourner contre son employeur au moindre courant d’air. La plante est donc systématiquement mortelle, à moins d’être préparée avec soin par de longs procédés alchimiques réservés aux sorciers… car il n’y a que les mages les plus noirs ou les prêtres les plus funestes, pour avoir usage d’une telle substance (qui outre son aspect mortel, rend très rapidement dépendant).
Cette variété est également « connue » dans le reste d’Hyboria, mais nettement plus confidentielle que les deux précédentes, puisqu’en dehors des terres de l’exil, elle ne pousse que dans un endroit particulier du Khitaï. Elle est donc extrêmement rare, chère, et seuls les alchimistes et autres sorciers sont renseignés quant à son usage.
On raconte qu’une poudre obtenue à partir des fleurs séchées permet de rendre ceux qui l’inspirent fous d’une rage incontrôlable, à l’image des berserkers du nord. Préparé en potion, l’effet est moins puissant mais attise tout de même la fureur et la soif de sang de qui en boit.
Probablement la plus légendaire de toutes les variétés, le lotus doré est en quelque sorte l’opposé parfait du lotus noir. Extrêmement rare, cultivé dans des endroits secrets et jalousement défendu, on le dit capable de soigner les blessures, de réparer des os brisés, d’estomper les cicatrices et même de guérir de la folie, de la maladie… voire d’un empoisonnement au lotus noir. On raconte même que celui qui en boit voit son espérance de vie s’allonger de manière surnaturelle.
Cette variété est endémique des terres d’exil, c’est-à-dire qu’auparavant, jamais personne n’en avait entendu parler. Aucun alchimiste ne sait donc à quoi s’attendre avec cette fleur, dont on dit qu’elle pousse sur les sols détrempés par le sang des guerres…
A la différence des autres variétés de lotus, le lotus de givre n’a pas de réputation sulfureuse ou mystique. En fait, il est possible que les alchimistes ne se soient tout simplement jamais intéressé à lui jusqu’à présent…
Les terres d’exil ont la particularité d’abriter la majorité des espèces de lotus d’Hyboria, en plus de certaines carrément endémiques de la zone ! Mais attention, en termes de roleplay, il faut veiller à ne pas succomber à la tentation de la nouveauté et ne pas vouloir devenir un maître des lotus en 15 jours… Petit tour d’horizon donc, des différentes variétés de lotus des terres d’Exil, de ce qu’on en sait au départ et… surtout, de ce que peuvent apprendre les différentes catégories de personnages.
Le lotus jaune
C’est probablement l’une des variétés les plus connues et employées en Hyboria, utilisée comme drogue par les amateurs de rêves embrumés autant que comme herbe de transe par les prêtres, chamans et mystiques divers. Ordinairement, le lotus jaune est employé brûlé dans un brasero pour en inspirer la fumée, ou comme « tabac ». Il a un effet hallucinatoire notable, et rend dépendant à terme.
- ”en jeu”:
- Une potion de lotus jaune semble avoir cet effet hallucinatoire et onirique en plus puissant encore, à tel point qu’elle désoriente totalement l’esprit de celui qui en boit (évidemment, on ne va pas parler de « respé » en RP…).
- Une recette de cuisine à base de lotus jaune existe également, où la fleur est bouillie et servie en soupe, mais la plante perd alors toutes ses propriétés psychotropes… et le mets lui-même n’a que peu d’intérêt !
- Les effets du lotus jaune une fois les fleurs séchées et réduites en poudre restent inconnus, sans doute une piste pour les alchimistes confirmés…
- Une potion de lotus jaune semble avoir cet effet hallucinatoire et onirique en plus puissant encore, à tel point qu’elle désoriente totalement l’esprit de celui qui en boit (évidemment, on ne va pas parler de « respé » en RP…).
Le lotus pourpre
C’est une autre variété de lotus assez connue en Hyboria. Le lotus pourpre est originaire d’un marais du sud de la Stygie, et on en tire un puissant poison capable de paralyser temporairement une bête ou un homme. Ainsi, il est particulièrement prisé pour enduire des lames ou des flèches. Sous l’effet du lotus pourpre, la victime ressent tout ce qui arrive à son corps sans avoir le moindre contrôle sur lui.
- ”en jeu”:
- Boire une potion de lotus pourpre provoque une paralysie temporaire (effet “estropier”).
- Les effets de la plante une fois séchée et broyée demeurent inconnus, une autre piste pour alchimistes…
- Boire une potion de lotus pourpre provoque une paralysie temporaire (effet “estropier”).
Le lotus noir
Probablement le plus emblématique des lotus, il est aussi celui qui est le plus mortel. L’odeur dégagée par les fleurs, à elle seule, suffit à rendre fou le malheureux qui se trouverait à portée. Quand à la sève, son simple contact par voie cutanée suffit à donner la mort. C’est donc un poison aussi redoutable que rare et précieux, car si la plante est peu commune et difficile à récolter pour des raisons évidentes, sa distribution est également interdite par la plupart des autorités (de manière tout aussi évidente d’ailleur).
Souffler au visage de quelqu’un la poudre obtenue à partir des fleurs séchées suffit à le tuer, mais une telle arme est aussi dangereuse pour la victime que pour l’assassin, puisque sujette à se retourner contre son employeur au moindre courant d’air. La plante est donc systématiquement mortelle, à moins d’être préparée avec soin par de longs procédés alchimiques réservés aux sorciers… car il n’y a que les mages les plus noirs ou les prêtres les plus funestes, pour avoir usage d’une telle substance (qui outre son aspect mortel, rend très rapidement dépendant).
- ”en jeu”:
- Préparer une potion de lotus noir qui ne donne pas instantanément la mort est une opération que peu de gens dans les terres d’exil (dans Hyboria-même, en fait) sont à même de réaliser. Même ainsi, on court le risque de subir un empoisonnement et se faire corrompre, les gains en valent-ils alors vraiment la chandelle...
- La poudre peut servir d’arme lorsqu’elle est soufflée au visage de quelque chose (ou quelqu’un). Les autres usages possibles demeurent inconnus des alchimistes, à l’exception de quelques sorciers noirs comme Yara ou Thoth-Amon...
- Préparer une potion de lotus noir qui ne donne pas instantanément la mort est une opération que peu de gens dans les terres d’exil (dans Hyboria-même, en fait) sont à même de réaliser. Même ainsi, on court le risque de subir un empoisonnement et se faire corrompre, les gains en valent-ils alors vraiment la chandelle...
Le lotus gris
Cette variété est également « connue » dans le reste d’Hyboria, mais nettement plus confidentielle que les deux précédentes, puisqu’en dehors des terres de l’exil, elle ne pousse que dans un endroit particulier du Khitaï. Elle est donc extrêmement rare, chère, et seuls les alchimistes et autres sorciers sont renseignés quant à son usage.
On raconte qu’une poudre obtenue à partir des fleurs séchées permet de rendre ceux qui l’inspirent fous d’une rage incontrôlable, à l’image des berserkers du nord. Préparé en potion, l’effet est moins puissant mais attise tout de même la fureur et la soif de sang de qui en boit.
- ”en jeu”:
- La potion de lotus gris donne des bonus de puissance mais brouille l’esprit de celui qui la boit, le plongeant dans une folie sanglante où il devient incapable de différencier amis et ennemis.
- Inhaler de la poudre de lotus gris a un effet semblable, mais moins durable. Les autres usages possibles sont inconnus des alchimistes.
- La potion de lotus gris donne des bonus de puissance mais brouille l’esprit de celui qui la boit, le plongeant dans une folie sanglante où il devient incapable de différencier amis et ennemis.
Le lotus doré
Probablement la plus légendaire de toutes les variétés, le lotus doré est en quelque sorte l’opposé parfait du lotus noir. Extrêmement rare, cultivé dans des endroits secrets et jalousement défendu, on le dit capable de soigner les blessures, de réparer des os brisés, d’estomper les cicatrices et même de guérir de la folie, de la maladie… voire d’un empoisonnement au lotus noir. On raconte même que celui qui en boit voit son espérance de vie s’allonger de manière surnaturelle.
- ”en jeu”:
- La potion de lotus doré permet de restaurer la santé de celui qui en boit, accompagné d’effets “d’étourdissement”. On peut donc l’employer, lorsque l’on a la chance d’en avoir sous la main, pour accélérer la régénération naturelle (comme avec l’aloe en nettement plus puissant). Son usage ne remplace toutefois pas l’action d’un médecin dans certains cas (boire une potion ne permet pas de nettoyer, d’extraire des pointes de flèches d’une plaie ou de remettre des os en place aux dernières nouvelles).
- Les effets de la fleur séchée et broyés sont inconnus des alchimistes.
- La potion de lotus doré permet de restaurer la santé de celui qui en boit, accompagné d’effets “d’étourdissement”. On peut donc l’employer, lorsque l’on a la chance d’en avoir sous la main, pour accélérer la régénération naturelle (comme avec l’aloe en nettement plus puissant). Son usage ne remplace toutefois pas l’action d’un médecin dans certains cas (boire une potion ne permet pas de nettoyer, d’extraire des pointes de flèches d’une plaie ou de remettre des os en place aux dernières nouvelles).
Le lotus rouge
Cette variété est endémique des terres d’exil, c’est-à-dire qu’auparavant, jamais personne n’en avait entendu parler. Aucun alchimiste ne sait donc à quoi s’attendre avec cette fleur, dont on dit qu’elle pousse sur les sols détrempés par le sang des guerres…
- ”en jeu”:
- Il n’y a pas de potion de lotus rouge en jeu à l’heure où ce guide est écrit, et personne ne sait quels peuvent être les effets du jus de lotus rouge.
- Les effets d’une poudre obtenue à partir de la fleur séchée sont également inconnus des alchimistes
- Il n’y a pas de potion de lotus rouge en jeu à l’heure où ce guide est écrit, et personne ne sait quels peuvent être les effets du jus de lotus rouge.
Le lotus de givre
A la différence des autres variétés de lotus, le lotus de givre n’a pas de réputation sulfureuse ou mystique. En fait, il est possible que les alchimistes ne se soient tout simplement jamais intéressé à lui jusqu’à présent…
- ”en jeu”:
- On peut concocter une potion de lotus de givre, mais personne ne sait quel effet sera obtenu en la buvant..
- On peut aussi faire de la poudre avec les fleurs séchées, mais là aussi, les effets demeurent inconnus.
- On peut concocter une potion de lotus de givre, mais personne ne sait quel effet sera obtenu en la buvant..
Thal- Messages : 58
Date d'inscription : 01/10/2017
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