[Présentation] Bëor

Prénom : Bëor                     Âge : 33 ans
Sexe :  ♂                              Ethnie : Aesir
Allégeance : Aucunes              Religion : Ymir

Apparence physique :
Bëor dispose d'un physique assez commun pour un Aesir, grand et costaud. Il est large des épaules, possède des bras solides et puissants. Ses yeux bleus digne rappel du givre qui règne en maitre d'où il vient, il arbore une crinière blonde caractéristique de son ethnie qu'il tresse. Il a le crâne tatoué de chaque côté de ses cheveux, principalement des runes ainsi que différents symboles. Des tatouages qui laissent présager qu'ils ne sont pas les seules à orner son corps.

Psychologie :
C'est un homme méfiant qui n'accorde sa confiance que très difficilement. Bëor n'est pas une personne belliqueuse, c'est un homme pragmatique qui réfléchit avant d'agir, établissant une hiérarchie d'importance dans tout ce qu'il fait. Il favorise dont toujours ce qui a le plus d'importance à ses yeux ainsi que pour les gens qui gravitent autour de lui. Il ne s'immisce que très rarement dans les histoires qui ne le regarde pas et ne le touche pas. Il n'a rien d'un bon samaritain et les terres de l'exil s'apparentent pour lui à une cage ou tout un chacun est un prédateur.

Histoire :
Dans sa vie précédent l'exil, Bëor était un aesir tout ce qu'il y a de plus lambda. Sa vie tournait autour de la chasse, de son métier de charpentier et des raids dans le sud à chaque fois que l'obligation s'en faisait ressentir par son clan.

Après sa descente de la croix, il erra jusqu'aux terres du nord où il s'implanta pendant un long moment. Il fit la rencontre d'une ancienne esclave Stygienne du nom de Siïl avec qui il partit en expédition dans le sud. Suite à une tempête dans le désert, ils ressortirent en piteux état dans un endroit qui leur semble inconnu.

Raison de l'exil :
Dans son clan, il y a une délégation de cimmériens qui est venu afin de faire des négociations. En honorant Ymir comme d'habitude lors d'un banquet, il cru entendre un cimmérien insulté les siens. Soit à raison, soit à tort et il a écrasé un tabouret sur la gueule du mec. La faute n'étant pas assez grave pour qu'on lui ôte la vie, il a été envoyé en exil.

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